Nous souhaitons intervenir sur cette délibération pour rappeler quelques éléments de contexte essentiels.
En 2022, la participation des communes adhérentes au Syndicat Intercommunal de Musique (SIM) s’élevait à 490 000 €. Aujourd’hui, en 2025, elle atteint 650 000 €, soit une augmentation de plus de 30 % en seulement trois ans.
Nous tenons à saluer les efforts entrepris par le SIM pour maîtriser ses dépenses. Des actions concrètes ont été engagées, mais le désengagement progressif du Département, et en particulier la suppression de la subvention de fonctionnement de 43 836 € nous oblige aujourd’hui à consentir à un effort financier supplémentaire significatif.
La ville de Bruz voit ainsi sa participation portée à 395 875 €, avec un versement exceptionnel de 26 966 € pour compenser en partie cette perte. Nous l’acceptons dans un esprit de responsabilité, car nous savons tous combien l’enseignement musical est précieux pour nos enfants, nos familles, et plus largement pour la vie culturelle de notre territoire.
Cependant, nous devons également regarder vers l’avenir avec lucidité. Des inquiétudes subsistent quant à la soutenabilité financière du modèle actuel. Nous avons récemment appris que la commune de Bourgbarré, dont la participation s’élève à 53 000 €, envisage de se retirer du SIM. Ce retrait, s’il se concrétise, aurait un impact financier et organisationnel très conséquent.
Aussi, je souhaiterais, Monsieur le Maire, que lors d’un prochain conseil municipal, nous puissions bénéficier d’une présentation claire des perspectives pour les trois années à venir.
Il nous semble essentiel d’évoquer ensemble :
- le plan d’action envisagé par le SIM,
- les éventuelles pistes de rapprochement avec d’autres structures, notamment une autre école de musique, je pense à celle de Chartres, des échanges ont déjà eu lieu il y a 7 ans.
- les discussions en cours ou à initier avec Rennes Métropole, notamment sur la place de l’enseignement artistique dans les 43 communes de son territoire,
- les pistes de mutualisation des ressources avec l’ensemble des services des communes adhérentes.
- les possibilités de diversification des financements, par exemple via le mécénat ou les partenariats,
- ou encore les réformes tarifaires à étudier : généralisation des cours collectifs, modulation des tarifs selon les revenus, etc.
Il est de notre responsabilité collective de faire preuve d’inventivité pour garantir la pérennité de notre école de musique. Il est urgent d’explorer toutes les piste afin de garantir l’avenir de notre école de musique, à laquelle nous tenons tous.
En 2022, la participation des communes adhérentes au Syndicat Intercommunal de Musique (SIM) s’élevait à 490 000 €. Aujourd’hui, en 2025, elle atteint 650 000 €, soit une augmentation de plus de 30 % en seulement trois ans.
Nous tenons à saluer les efforts entrepris par le SIM pour maîtriser ses dépenses. Des actions concrètes ont été engagées, mais le désengagement progressif du Département, et en particulier la suppression de la subvention de fonctionnement de 43 836 € nous oblige aujourd’hui à consentir à un effort financier supplémentaire significatif.
La ville de Bruz voit ainsi sa participation portée à 395 875 €, avec un versement exceptionnel de 26 966 € pour compenser en partie cette perte. Nous l’acceptons dans un esprit de responsabilité, car nous savons tous combien l’enseignement musical est précieux pour nos enfants, nos familles, et plus largement pour la vie culturelle de notre territoire.
Cependant, nous devons également regarder vers l’avenir avec lucidité. Des inquiétudes subsistent quant à la soutenabilité financière du modèle actuel. Nous avons récemment appris que la commune de Bourgbarré, dont la participation s’élève à 53 000 €, envisage de se retirer du SIM. Ce retrait, s’il se concrétise, aurait un impact financier et organisationnel très conséquent.
Aussi, je souhaiterais, Monsieur le Maire, que lors d’un prochain conseil municipal, nous puissions bénéficier d’une présentation claire des perspectives pour les trois années à venir.
Il nous semble essentiel d’évoquer ensemble :
- le plan d’action envisagé par le SIM,
- les éventuelles pistes de rapprochement avec d’autres structures, notamment une autre école de musique, je pense à celle de Chartres, des échanges ont déjà eu lieu il y a 7 ans.
- les discussions en cours ou à initier avec Rennes Métropole, notamment sur la place de l’enseignement artistique dans les 43 communes de son territoire,
- les pistes de mutualisation des ressources avec l’ensemble des services des communes adhérentes.
- les possibilités de diversification des financements, par exemple via le mécénat ou les partenariats,
- ou encore les réformes tarifaires à étudier : généralisation des cours collectifs, modulation des tarifs selon les revenus, etc.
Il est de notre responsabilité collective de faire preuve d’inventivité pour garantir la pérennité de notre école de musique. Il est urgent d’explorer toutes les piste afin de garantir l’avenir de notre école de musique, à laquelle nous tenons tous.