Nous tenons à exprimer notre satisfaction de voir ce dispositif réactivé. Il s’inscrit dans une démarche que nous avons initiée en 2015, à une époque où la prévention de la délinquance passait aussi, selon nous, par l’installation de caméras de surveillance — dispositif que la minorité de l’époque avait alors accueilli avec réserve.
Ce retour à une approche plus participative de la sécurité locale, en lien avec les habitants, nous semble pertinent, surtout dans un contexte où le lien social et la vigilance collective sont des atouts majeurs face aux actes de délinquance du quotidien.
Au lancement du dispositif, 18 citoyens référents avaient été mobilisés. Pouvez-vous nous indiquer si ce nombre est maintenu ou redéfini pour cette nouvelle phase ? Et quels sont les critères retenus pour leur désignation ou leur renouvellement ?
Par ailleurs, pour évaluer l’impact potentiel de cette relance, il nous semblerait utile d’avoir un état des lieux chiffré sur la situation actuelle. Disposez-vous de données récentes concernant les cambriolages ou les atteintes aux biens sur la commune de Bruz ?
Enfin, nous soutenons pleinement les principes fondateurs du dispositif : bon sens, civisme, bénévolat et solidarité. À condition qu’il reste un outil d’échange et de vigilance citoyenne — et non une délégation des missions des forces de l’ordre — cette initiative peut effectivement renforcer le climat de confiance et de tranquillité dans nos quartiers.
La place de Bretagne devrait ainsi voir sa sécurité renforcée avec l’installation d’une nouvelle caméra de vidéo protection.
